D’ici à 2020, les équipementiers tablent sur une croissance des objets connectés de plus de 40% par an (source Idate). Toujours plus riches en capteurs (GPS, accéléromètres…), en connectivités (Wifi, NFC, Zigbee…) et donc gourmands en énergie, la gageure sera d’assurer le fonctionnement de ces devices en mobilité sans sur-dimensionner les batteries. Face à cette problématique, les fabricants de micro-conducteurs ont désormais une incitation claire à créer des puces capables de récupérer de l’énergie de manière autonome et travaillent sur des systèmes de captage nouvelle génération. Zoom sur les dernières avancées :
Comment récupérer de l’énergie grâce à son environnement ?
4 types d’énergies peuvent être captés, chacun étant plus adapté à un type d’appareil distinct. Passage en revu, de la plus puissante à la plus ténue :
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Un enjeu de taille pour les objets connectés :
Selon les projections de l’Idate, le nombre d’objets connectés devrait dépasser 80 milliards en 2020, contre 15 milliards en 2013. Qualcomm, TI, ARM et beaucoup d’autres misent sur le fait qu’une partie de ces objets seront utilisés en situation de mobilité … et donc que toute énergie disponible est bonne à stocker ! À quand les premières puces intégrées par défaut dans les smartphones ? En tout cas, c’est déjà possible pour les ballons de football !
Source: http://gigaom.com
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